Live Painting Electronics






JITTERLAG propose une création multimédia autour du concept de « dancefloor interactif ». Les spectateurs sont invités à danser et à participer en direct à la production graphique et sonore.

LIGHT-PAINTING

Le public est filmé comme dans un festival, mais il peut aussi agir sur les images vidéo retransmises sur l’installation scénique, en manipulant des sources lumineuses (téléphones mobiles, briquets, lampes, bracelets lumineux…).

Les lumières sont incrustées dans les créations graphiques et se transforment en formes nuageuses, en fumées, en feux, en volutes irisées évoquant des taches d’essence. Lorsqu’il est éclairé, le public lui-même apparaît de manière céleste ou plus fantomatique sur l’écran de projection. Chacun devient acteur de la performance. Un jeu interactif se met en place entre le public et le spectacle.



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LIVE @SCROGNEUGNEU I RADIO PULSAR / #Mai15













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Dispositif de "Light-Painting" en direct développé avec le logiciel opensource Pure Data.
Résultats des différents tests dans ce Patch Work vidéo LighT-iN réalisé le 31 Janvier 2015 à ZoProd.

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INSTALLATION FÊTE DES MORTS @ZoProd / #Nov14







MAPPING VIDÉO

Projection vidéo sur diverses surfaces, donnant l’impression d’une installation complexe avec un seul vidéo projecteur.
Jitterlag utilise le mapping vidéo pour fragmenter l’espace, pour créer une illusion de 3D et pour ouvrir en quelque sorte un univers parallèle. Le spectateur, qui est invité à participer, passe visiblement de l’autre côté du miroir.



TECHNIQUES

Feedback complexe en vidéo.
Les effets utilisés sont développés spécialement par le projet. Le principal effet consiste à recréer la sensation de profondeur obtenue en positionnant deux miroirs face à face, ou en filmant un écran et en retransmettant le résultat sur ce même écran. Le dispositif génère une boucle dans laquelle le moindre élément filmé est répété à l’infini. Grâce aux outils numériques, Jitterlag génère en direct plusieurs boucles imbriquées, chacune étant filtrée et bougée dans l’espace pour créer des formes étirées, spiralée, etc. et qualifiables de psychédéliques.

Feedback complexe en son.
Le même effet oriente la création sonore et graphique, dans un soucis de simplicité et de cohérence. Tous les « instruments » numériques sont créés avec la même technique de synthèse par feedback complexe (pour les initiera : développement spécial de l’algorithme de Karplus-Strong). Ainsi le module de synthèse du son de caisse-clair est aussi utilisé pour le kick ou la basse, ce qui peut paraître étonnant. Les cymbales sont quant à elles créées à partir des sons des autres éléments permissifs, modifier par des traitements particulier à base de boucles et de pitchshifting.

La musique mélange l’électronica, la dark-techno et le rock-indus avec des sonorités évoquant des instruments médiévaux ou orientaux ou encore du piano préparé.

Quelques références musicales :
Autechre, Sonic Youth, Björk, Stockhausen, Godflesh, Radiohead, Luc Ferrari, Nine Inch Nails, Dadub, Killing Joke, Basic Channel, Aphex Twin, Plaid…


Pure Data :

Le projet s’appuie exclusivement sur Pure Data, un logiciel libre et open source. Cet outil de création numérique est soutenu et développé par une importante communauté mondiale.



Utilisé par de nombreux artistes, il est entre autre mobilisé dans des performances ou des installations audio-visuelles innovantes, et est régulièrement présenté dans des ateliers interactifs et des conférences spécialisées.

Pure Data prend en charge le travail sonore, musical et graphique. Une création audio-visuelle complète devient accessible grâce à un seul outil proposé sur support numérique.

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